L'architecte-artiste marocain Rachid Haloui expose actuellement ses photos sur Essaouira à la galerie de l'Olympe à Perpignan (Sud de la France).

Les remparts, la mer, les paysages, la médina et les personnages de la ville des Alizés sont savamment mis en scène lors de cette exposition dont le vernissage a eu lieu en présence du consul général du Royaume à Montpellier, M.Abdelfettah Kadiri.

Signe de la vitalité retrouvée de la culture berbère, une version traduite du texte de Samuel Beckett est en cours de publication.

Faire attendre Vladimir et Estragon après Godot en berbère. Une version du texte de Samuel Beckett en amazigh - les militants pour la défense de la culture de ce peuple rejettent le mot «Berbère» - est en cours de publication. Le poète Mohamed Ouagrar l’a fait passer d’une langue à l’autre et l’institut français d’Agadir l’a fait jouer en décembre.

Le Cinéma marocain jouit, au 11-ème Festival international du film documentaire et du court métrage, qui s'est ouvert lundi à Ismaïlia (Egypte), d'un "programme spécial" prévoyant la projection d'une dizaine de films.

Ce programme, qui débutera vendredi prochain, est placé sous le signe : "Regard sur le Cinéma Marocain".

Lors d’une conférence de presse tenue dernièrement à Casablanca, la chaîne de télévision maghrébine Nesma TV a présenté sa grille des programmes pour le mois de Ramadan. L’occasion pour Nabil Karoui, directeur de la chaîne et directeur artistique de la star Academy Maghreb de revenir sur le conflit qui oppose Nesma TV à Hajar, gagnante de la 1ère édition de la Star Academy Maghreb.

Nabil Karoui a présenté les grandes lignes de la grille du mois sacré du Ramadan marquées par une grande production de télé réalité maghrébine familiale de concept Karoui and Karoui intitulée « Dar Familiya » .

Qui de nous n'a pas vu «Boutfounast,Tihiya,Tamghart N'ourgh, Tiguiguelt »? Ces films cent pour cent amazighs faits par les pionniers de ce jeune cinéma qui sont le plus souvent méconnus du public et qui ont pourtant fait rire et pleurer les spectateurs jusque dans les douars perdus dans le Souss profond et dans les autres régions amazighophones. Fatima Bououchane est l'une d'entre-eux.

Après ses études primaires, Fatima Bououchane se découvre un penchant pour la poésie arabe et amazighe.À l'âge de seize ans,elle devient une « tannaddamet » à l'instar « des innadamen » amazighs du Souss.